Aaah, c'est sinueux, un chemin de développement personnel...
J'ai d'abord recherché le "bonheur" (comme nous tou·te·s, n'est-ce pas ?)
Puis je me suis sentie coupable. Coupable de ne pas "réussir" à me sentir heureuse tout le temps, alors que j'avais "tout pour".
Puis (bon je vous fais un gros fast forward là , parce que j'imagine que vous n'avez pas toute la journée ), j'ai trouvé des clefs (merciii merciiiii le coaching, la PNL et autres formations magiques ) qui m'ont fait faire des bonds de géant en matiÚre de confiance en moi, d'assurance, de joie.
Puis, j'ai été triste again. WHAT ?! No wayyyyyyy, je pensais que j'avais toutes les clefs
J'ai tout remis en question. Le coaching est un outil fabuleux, oui, mais apparemment, il ne m'a pas permis d'atteindre ce bonheur infini tant attendu...
J'ai pleuré. J'ai pris des bains. J'ai écrit. J'ai dansé comme une tarée. J'ai passé de beaux moments. J'ai re-pleuré.
Et puis... j'ai compris.
Le coaching ne m'a pas apporté le bonheur absolu. Tout simplement car il n'existe pas. Vous vous souvenez du film Vice-Versa ? La demoiselle Tristesse, en bleu, sera toujours dans un coin de la salle de contrÎle...
Mais... les choses étaient différentes. AprÚs tout, mes moments de tristesse étaient beaucoup moins intenses qu'auparavant. Mes moments de désespoir bien plus nuancés...
Mon cerveau avait compris que les "toujours" et "jamais" ne fonctionnaient pas. Et on ne peut pas désapprendre ce qu'on a appris.
Quand Regina (l'une de mes voix pas sympa) me disait : "Tu ne trouveras jamais l'amour"... Je pleurais, mais je ne la croyais plus vraiment. Quand Regina me disait "Tu es nulle"... Je pestais, mais je ne la croyais plus vraiment. Quand elle me disait "Tu risques de passer à cÎté de ta vie"... J'avais peur, mais je ne la croyais plus vraiment.
Et puis, j'ai compris ce que le coaching m'avait apporté...
Il m'a apporté l'amour absolu
L'amour absolu pour ma vie. Pour mon expérience humaine.
J'ai toujours ressenti un grand amour pour LA vie, en gĂ©nĂ©ral. D'oĂč ce bouillonnement interne que je sentais au fond de moi.
Mais je n'aimais MA vie que de maniĂšre conditionnelle.
Je la kiffais de ouf quand je me sentais joyeuse (ex : à une super soirée entre ami·e·s). Et je la méprisais quand je me sentais mal (ex : quand j'étais triste "sans raison").
Je la kiffais quand j'obtenais ce que je voulais (ex : ce nouveau job !). Et je la méprisais quand je me sentais frustrée (ex : quand un crush me disait qu'il ne voulait pas de relation).
Il m'arrivait de regarder la vie des "autres" avec envie. Machin a trouvé sa voie. Bidule a l'air de trop bien gagner sa vie. Trucmuche a l'air si bien avec son mec.
DĂ©sormais, j'aime ma vie, no matter what. MĂȘme quand elle me saoule. Et je sais que celle des "autres" n'est pas "meilleure". Ce n'est juste pas la mienne.
Mmmm attention, pour aller plus loin dans le concept, je vais faire appel au Dieu de l'Anglais
En English, il y a le verbe "love", qui signifie "aimer". Et puis le verbe "like", qui signifie "aimer" en mode plus soft. Genre, tu dis "I love you" à ton amour-chéri-d'amour", et tu dis "I like you" à ton crush-avec-qui-ça-vient-de-commencer.
Selon moi, l'Amour avec un grand A, le Love, est un feeling + un engagement trĂšs fort (et choisi).
Et l'amour avec un plus petit a, le Like, est un amour plus frivole, plus circonstanciel.
L'Amour avec un grand A, le Love, l'Amour Absolu, c'est un peu les racines d'un bel arbre.
Et l'amour avec un plus petit a, le Like, est une branche, qui peut se casser, s'envoler lorsque vient la tempĂȘte.
Pensez aux personnes et aux choses que vous Lovez : je suis sûre que parfois, vous ne les Likez pas.
Quand votre conjoint·e vous fait une remarque déplacée. Quand votre meilleur pote annule (encore) un rdv. Quand votre chien casse votre lampe préférée, quand vous vous sentez submergé·e de travail (alors que vous Aimez votre travail)... You got the point.
Mais ce n'est pas pour autant que vous ne les Lovez plus, si vous les Aimez de maniĂšre inconditionnelle.
Avant, je Likais ma vie quand ça me chantait. Maintenant, je la LOVE tout le temps, mĂȘme quand je ne la Like pas (vous suivez ? ).
Le coaching a créé en moi une stabilité libératrice.
J'Aime ma vie de maniĂšre inconditionnelle. Mes racines sont solides*.
Et quand certains aspects me font trop de mal... Je coupe les branches. J'en crée de nouvelles.
Apprenez Ă aimer votre vie de maniĂšre inconditionnelle les lardons, vous ĂȘtes coincé·e·s avec (il paraĂźt ).
Comme d'hab, si mes réflexions du jour vous donnent envie de réagir, répondez à cet e-mail, ou envoyez-moi un petit message sur Instagram. Vos réactions sont pour moi aussi savoureuses que mes oeufs au plat du matin Pura Vida sur vous et à la semaine prochaine, Chloé.
* C'est exactement comme cela que je peux résumer ce que je vous propose avec mon accompagnement coaching! OUIIII !!! Je vous propose d'apprendre à Aimer votre vie, quoi qu'il arrive (of course, ça passe par VOUS Aimer quoi qu'il arrive. Impossible d'aimer sa vie quand on ne peut pas se piffer, sorry).
Je vous accompagne Ă consolider vos racines.
Et Ă faire du tri dans vos branches. Si ça vous dit, cher·e·s lardons d'Amour, voici la procĂ©dure Ă suivre (aucune Ă©tape ne vous engage vers la suivante) : 1. M'Ă©crire si vous avez des questions particuliĂšres. 2. Prendre rdv pour une SĂ©ance d'Orientation (55âŹ). Buts : apprendre Ă nous connaĂźtre, clarifier ce que vous voulez, prendre conscience que vous avez de super-atouts, recevoir quelques recos / guidances de ma part. 3. Vous lancer dans une aventure coaching de 2 mois (600âŹ, rĂ©glables en plusieurs fois). 4. Vos racines seront dĂ©jĂ bien bien solidifiĂ©es. Et si vous dĂ©sirez en remettre un peu d'engrais, des sĂ©ances par 6 ou Ă l'unitĂ© seront dispo selon vos besoins / envies.
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