"La vraie vie commencera quand [ insérer ici un rêve personnel...ou un objectif dicté par la société ] " : que toutes celles et ceux qui n'ont jamais eu cette pensée me jette la première pierre. Les autres : continuez votre lecture
Petite fille, je pensais que la vraie vie commencerait quand je serais en âge de porter du rouge à lèvres (oui oui, une obsession qui a commencé il y a bien longtemps...)
Écolière, je pensais que la vraie vie commencerait quand j'irais à l'université (en imaginant la vie trépidante des universitaires que je voyais dans les séries américaines, bien sûr. #Harvard #Yale).
Étudiante, je pensais que la vraie vie commencerait quand je rejoindrais la vie active (si possible en mode #BossLady, et avec un planning surchargé ).
Jeune femme, j'ai pensé que la vraie vie commencerait quand je serais en couple (après quelques péripéties hollywoodiennes, bien sûr).
En couple, j'ai pensé que la vraie vie commencerait quand je vivrais dans une maison d'"adulte" (avec un jardin, un fauteuil d'angle et un bon four ).
Vous voyez à quel point cette façon de penser est juste... sans fin ? À quel point mon cerveau me poussait à toujours trouver le présent "bof", "peut mieux faire" ?
J'ai décidé que j'en avais assez. Basta. Patata.
Qui se retrouve dans ce que je viens d'écrire ?
Je vous vois, vous. Vous qui attendez d'avoir trouvé votre vocation, votre âme soeur, l'alignement des planètes.... Êtes-vous toujours en train d'attendre que votre vie démarre pour de vrai ?
Vous êtes au bon endroit, car j'ai quelques petites choses à vous dire...
Good news : vous êtes humain·e·s ! C'est quand même plus sympa qu'être un robot, n'est-ce-pas ? Vous êtes donc doté·e·s d'un super cerveau, qui vous permet à la fois de ressentir des trucs de ouf, mais aussi de planifier, de réfléchir, de vous accomplir... (et de ruminer.... hum )
Bad news : vous allez mourir un jour, on-ne-sait-pas-quand. Oui, je tends à mettre cette pensée (que je trouve personnellement très dérangeante) de côté mais il fait parfois bon de s'en rappeler.
Breaking news : si vous êtes en train de me lire aujourd'hui, c'est que vous êtes bien vivant·e. Et si vous avez appris à lire et à vous servir d'Internet, il y a de grandes chances que vous ayez commencé à vivre il y a quelques années déjà...
Vous ne me croyez toujours pas ?
Dans son livre "Les 5 regrets des personnes en fin de vie", Bronnie Ware, infirmière en soins palliatifs, compile les plus grands regrets des centaines de patient·e·s qu'elle a accompagné·e·s. Qu'auraient-ils souhaité faire différemment ?
1. Avoir le courage de vivre leur propre vie, sans se focaliser sur ce que les autres ou sur ce que la société voulaient pour eux/elles.
2. Travailler moins et laisser davantage de place aux autres domaines de leur vie.
3. Davantage montrer leurs émotions, au lieu de les cacher par peur des réactions qu'elles auraient pu susciter. 4. Passer plus de temps avec leurs ami·e·s, parfois délaissé·e·s par la vie de famille ou la vie pro. 5. Être heureux·ses. Bronnie a constaté que ses patients faisaient dépendre leur bonheur de l'atteinte de résultats particuliers à la place de profiter du moment (tiens tiens... on y revient).
C'est génialissime d'avoir des objectifs et des rêves, mais ne les laissons jamais prendre le pas sur notre vie d'ici et maintenant.
Je ne sais pas pour vous... mais j'ai envie d'éviter que les dernières pensées qui me traversent avant mon dernier souffle s'apparentent à "merde ! je n'avais pas encore commencé à vivre ! On peut rembobiner ?"
Non non et non ! J'ai décidé que mes dernières pensées seront des souvenirs agréables, des moments de grâce... Et vous ?
Être "heureux·se" : un bien grand mot... qui est loin d'avoir une définition unique.
✨ C'est quoi, pour vous, le bonheur ? C'est quoi VOTRE définition d'une vie "réussie" ? D'une vie qui vous permette de partir sans regrets ?
✨ Une fois que vous aurez identifié ces moments de grâce, vous pourrez les multiplier à l'infini... et kiffer la vie ! (car oui, je suis persuadée que ce qui vous rend heureux·ses est en fait très simple... Et c'est ça qui est génial).
En vous parlant des 5 regrets de notre amie Bronnie, j'ai eu un déclic : mon job, c'est exactement de vous aider à NE PAS avoir ces regrets lorsque vous serez en soins palliatifs (sorry, pas très sexy).
L'essence de mon offre se trouve purement et simplement là.
Voici donc la recette de la potion (pas si) magique qui vous permettra de vous sentir vivant·e, d'avancer selon vos propres termes, de profiter des petites choses de la vie et de nourrir de belles relations (oui oui, tout ça) :
✨ Hop ! Un petit e-mail ou message privé à Chloé (oh, c'est moi !) en mode "Coucou, ça me parle ce que tu dis, et si on causait ?" ✨ Chloé (toujours moi !) vous proposera ensuite un appel gratos de 30 minutes - sans engagement. J'insiste là-dessus : je ne vous forcerai JAMAIS la main. Quel intérêt pour moi de pousser quelqu'un à jouer avec moi s'il·elle n'a pas envie de dire "OH OUI JE LE VEUX !" ? Aucun. ✨ Objectifs de cet appel : vous faire préciser votre demande et déterminer si nous sommes un bon "match" ✨ "OH OUI JE LE VEUX !" ? → C'est parti pour 10 séances d'apprentissage, d'introspection, d'interaction et de fun.
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